Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

FreeZone

11 décembre 2006

...

Voila.

Je peux l'appeller MON MONSIEUR.

C'est ...

Bien à vous,

Lady Catin

Publicité
22 novembre 2006

...

Merde ...

Il y a quelqu'un dans ma tête qui vient.Il y a quelqu'un aussi qui revient, comme pour me rassurer, comme pour m'aider à surmonter tout ça.

Qu'est ce que je fous là ? Merde. Qu'est ce que je fous dans une section de commerce international ? Qu'est ce que je fous loin de ma famille ? Qu'est ce que je fous ? Pourquoi je l'ai laissé partir aussi ... S'éloigner du moins. Trop ?

Elle me manque. Il me manque, lui, elle, et elle aussi. Merde.

Et puis mon petit coeur qui s'est remit a battre tranquillement sans prévenir. Et des souvenirs qui reviennent au galop, et des moments que je veux revivre. Merdeuh. Quand on est amoureuse on est pas heureuse. Fais chier. Je veux rentrer chez moi, dans ma campagne perdue près de Paris.

Je veux la revoir. Là, maintenant tout de suite. Les hommes c'est pas pour moi, c'est compliqué on se trompe tout le temps, alors que les femmes on ne se trompe pas. On sait. Ou du moins je sais. Mais LE MONSIEUR, je sais pas. Faut faire comment avec les monsieurs ? Pourquoi les madames j'y arrive et pas les monsieurs.

Et MON monsieur qui vient me voir pendant que j'écris ces quelques lignes pleines d'espoir. IL va être content s'il lit tout ça.

Dis, si tu lis et que tu te reconnais, je dois m'y prendre comment pour te faire ouvrir les yeux ?

Dis mademoiselle, comment tu fais toi pour tomber amoureuse des monsieurs ?

Les madames c'est mieux ...

Oui mais là je suis amoureuse d'un monsieur qui est à coté de moi, là, en ce moment. A qui j'ai interdis de regarder l'écran. Merde, merde, merde.

Moi, je dis que les demoiselles c'est plus facile à cerner et à comprendre. Les demoiselles c'est aussi plus chiantes. Mais c'est des mademoiselles ...

Et merdeuh.

BIen à vous,

Lady Catin.

20 novembre 2006

A Troyes, finalement, il y a peut être un peu

A Troyes, finalement, il y a peut être un peu trop d'amour.

On se prends un peu trop la tête je trouve. Et ça m'énerve, et en plus ça m'empeche de dormir la nuit. Après on se plaint que je change tout le temps. Moi je dis pas étonnant, puisque il y a trop de gens. Trop de personne aimante, ça ruine le sommeil.

Moi je dis merde, merde et merde. Fuck l'amour. Grrr ...

Sinon a part ça, j'ai eu un accident de voiture, j'ai droit au collier. Et un traumatisme pour la vie. Et puis j'ai un découvert bancaire qui s'élève a 170 euros. Et puis je dois réparer la carrosserie de la voiture ...

J'aime plus l'argent. Je dis merde à l'argent. J'en ai tellement marre de le dépenser que maintenant je débourse meme plus 1 euro 30 pour prendre le bus le matin.

Je vais en cour.

Bien à vous, Lady Catin.

22 octobre 2006

••• show [1]•••

Qui a dit que la vie ne valait pas la peine d'être vécue ? Troyes : C'est le paradis. C'est un quotidien parfait. C'est de l'amour. C'est de l'amitié. C'est des cours. C'est de la bonne humeur. Troyes, c'est aussi des matins ou on se lève de très bonne humeur pour aller chercher sa demi-baguette à la boulangerie d'en face à 0,39€. C'est remonter se la tartiner au nutella avec un cappucino et un jus d'orange. Se maquiller rapidement et partir en courant à la poursuite du bus. Puis c'est demander tous les matins "On a cours dans quelle salle ?" après avoir fait la bise à la promo 2010, puis arriver essoufflés juste avant l'intervenant. C'est prendre un Coca à la pose histoire de reprendre des forces pour rattaquer le discours et les anecdotes. Puis c'est attendre 30 minutes pour manger au R.U. Puis se marrer en voyant ses potes qui attendent leur tour dans la file d'attente pendant que nous on se nourrit tranquillement. Puis se diriger tranquillement a la K-fête ou la musique marche à fond en attendant la reprise des cours en faisant semblant de lire le journal. Puis après les cours dans l'amphi 360°C, on se dirige vers le parking pour trouver quelqu'un qui se dirige vers le centre pour qu'il nous ramène chez nous. Puis on travail un peu, avant de descendre dans la rue. Puis on croise quelqu'un avec qui on parle pendant deux heures et on se ramène ensuite dans un bar branché ou on est sur de trouver quelqu'un qu'on connaît. C'est aussi se faire ramener par un beau gosse chez soi histoire d'être en sûreté. Voilà une journée type à Troyes. On travaille là-bas sans vraiment s'en rendre compte, on retient sans faire d'effort. A Troyes, on n'essaie même plus de compter les amis. A Troyes, on s'entraide, on aide et on fait de même pour nous. A Troyes, il y a de l'amitié, des connaissances, et de l'amour. A Troyes, il manque des amis, mais de toute façon ils s'éloignent. Ils font leur vie et ne m'attendent pas, c'est normal, mais ça fait mal. Mais a Troyes, c'est là ou je me réfugie, ou je me blotti dans les bras de mon Chéri, c'est là que je laisse s'évanouir mes peines … Et s'évanouir mes amitiés de Paris. J'ai mal de ça, je vomis de ça, j'ai des nausée de ça, j'ai des frissons de ça, j'ai des hoquets de ça, j'aime pas ça. Mais je change trop pour eux il parait, alors je m'y fais. J'ai horreur de ça, je le vis mal, mais tant pis. Troyes, c'est pour moi une chance d'oublier ce mal, de l'anesthésier. Mais je n'arrive pas à oublier. Troyes, c'est le bonheur. Paris [ mis a part la famille ], c'est l'horreur. Bien à vous, ~ Lady Catin ~
17 septembre 2006

••• départ •••

Départ pour Troyes demain … J'ai une boule dans le ventre, quelques regrets, des frissons dans le dos, l'estomac à l'envers, et le coeur ailleurs. J'ai des sentiments amères à vendre, des larmes à revendre , des sourires à offrir, des conneries à dire, des reflexions à étaler, et des idées à animer. J'ai un cliché qui me manque. Je vais m'installer dans mon petit quotidien, prendre de nouvelles habitudes, retrouver mes certitudes, mon caractère de merde, et seulement après, je reviendrais ici comme une fleur … Bien à vous, ~Lady-Catin ~ PS : François si tu passes par là, par rapport à notre dernière longue discution, je te laisse le soin de continuer dans la bonne direction … Et d'en prendre soin …
Publicité
16 septembre 2006

••• MERDE •••

Révoltée contre tout, j'en veux à tout le monde, je renie la famille, les amis, j'en viendrais à me retrouver seule dans une semaine. Mais fuck aussi. Qu'est ce qu'on peut se sentir seule, abandonnée, délaissée, mal-aimée quand on pard dans deux jours et que tout le monde nous tourne le dos. Mais fuck, ne peut on compter sur personne ? Quand on a besoin de gens autour de nous, il n'y a personne. Forcemment, quand je vire tout le monde avant de péter un cable, il ne reste forcement plus personne … Alors forcemment quand les gens a qui l'on a promif ne sont plus là, on ne tient plus les promesses. Tant pis putain de merde. J'ai la rage, j'ai une colère noire qui remonte, et personne sur qui crier. C'est peut etre pour ça d'ailleurs que depuis une semaine je gueule sur ma mère, et j'évacue le monde autour de moi avant que tout n'explose. Finalement, y aurait-il ne serait-ce qu'une étincelle de logique dans tout ce que je fais ? Dans deux jours je me taille à Troyes, il n'y aura personne pour m'accueillir, et personne pour me dire "ciao". Qu'est ce que je vais foutre dans une école de commerce international alors que j'ai toujours voulu m'engager dans l'armée ? Bon sang mais je fais n'importe quoi c'est pitoyable. Je me détourne des gens que j'aime et je me tourne vers un avenir qui prendra très vite fin. A quoi je joue ? Madonna a fond sur l'ordinateur, une soeur qui monte furax parce qu'elle ne peut pas écouter la télé, ma mère qui monte aussi en me disant qu'elle a hate que je parte, et mon père qui ne pense qu'au papier à regler pour partir. Je crois que mon départ va faire du bien a tout le monde. Sauf mon petit frère. Et ça, j'ai honte en le regardant, me dire que je pars, c'est comme me dire que je suis égoiste et que je ne pense qu'a moi. Mais c'est pas faux. J'ai une envie d'aller courir dans la foret et de me défouler, mais ce n'est pas une heure raisonnable pour aller faire du sport. Et j'emmerde le monde et ses règles débiles, j'emmerde tout le monde et je vais mal. Fuck je hais le monde, j'emmerde les gens, et j'ai bien envie de me foutre en l'air.
6 septembre 2006

••• En tablier rose de cuisine et en caleçon. •••

Comme un dossier terminé. Comme une page tournée. Comme une nouveau départ. Comme si Lady Catin se rendait enfin compte. Lady Catin vire hétéro. C'est tout nouveau, c'est dans sa tête. Lady Catin à de nouveaux principes. Lady Catin retrouve quelques valeurs qu'elle avait oublié depuis longtemps. Comme si elle découvrait. Comme si elle espérait les rappeler à d'autre. Comme si elle se sentait dans l'obligation de devoir remettre les idées en place à quelques uns. Comme si elle avait arrêté toutes ses conneries, pour pouvoir enfin ouvrir sa gueule, et pouvoir dire ce qu'elle en pense sans qu'on lui réponde qu'elle n'a pas son mot à dire. Comme si elle regrettait d'avoir donner une image d'elle qui l'a dépasse, et qu'elle voudrait reprendre le contrôle de l'image qu'elle veut donner aux autres. Comme avant. Comme si d'aller à Troyes était une seconde chance pour elle. Lady Catin voudrait avoir un regard neuf sur les choses. LAdy Catin veut repartir à zéro, rencontrer des gens qui n'aurait pas le regard de ceux qui en connaissent un peu plus sur elle ou qui auraient partager des moments en privé avec elle. Comme si elle étouffait. Comme si elle avait besoin d'air. Comme si elle devait aller voir autre part pour aller voir si l'herbe n'est pas plus verte qu'ici. Lady Catin change sur tous les plans.
15 juillet 2006

••• Je tiens l'image, moi, tu vois … •••

J'ai un coeur qui hurle à l'aide, mais une bouche qui répond * fuck. * à toutes les voix qui répondent * présente. * … J'ai le coeur qui veut parler, pleurer, crier. Mais un corps qui fait barrière avec le monde exterieur. Une multitude de choses ne veulent pas sortir, ni même apparaître dans ma tête. Une multitude de petits bugs qui entraînent une alerte permanente et qui tiennent les cris prêts à intervenir. J'ai un corps qui contredit mon cerveau. Comme un cerveau qui réfléchit, un coeur qui veut agir, enfermé dans un corps sans pouvoir donner l'alerte au monde exterieur. Parfois des tremblements me trahissent, les clopes qui s'enflamment trop vite accompagnent le phénomène, ainsi que des sourires crispés, des rires forcés, un corps qui se contracte d'un coup, des frissons incontrôlables parcourent le dos, comme pour exterioriser un flux génant de trop par la colonne vertébrale, des sourcils froncés, des yeux concentrés, la mâchoire contractée, soit un visage fermé. Sous calmants et somnifères légers, mais là quand même, je passe mes journées. Avec une pause pour le 14 juillet, qui fait du bien, des gens dont leur présence était un besoin. Des gouttes le matin dans les yeux pour cacher les insomnies passées à écouter de la musique, en écrivant, lisant ou dessinant. Des vitamines prisent en grosse dose le matin pour donner ne serait-ce qu'une minuscule étincelle de vie dans les yeux. Je marche au café la journée, au coca, tout ce qui peut me donner une étincelle d'énergie. Perte d'apétit, perte de poids, j'aurais perdu quelques 10 kg si ça continue comme ça dans quelques mois. Je ne sais plus trop quelles angoisses m'ont envahi, leur nombre, je sais plus, je crois que je nage dans le vide pour retrouver de l'air, j'ai pas l'impression de remonter à la surface. Je sais que j'ai la fâcheuse manie de me réfugier dans tout ce que je trouve quand je me perds. Et pour ce, et dès lors, je me stoppe. Parce que c'est lorque j'écris avec le "je" que je me rends compte de ce qui me traverse la tête, à moi, dedans. Et si simplement je ne criais pas parce qu'il n'y a pas uniquement que moi, que j'ai des choses importantes qui comptent plus que mes problèmes, comme des amis, comme toi, comme ma famille qui a besoin de moi, comme ma soeur qui ne veut pas esperer seule, comme mon amoureux qui veut aller se balader pour matter, comme ma préférée qui veut me raconter ses nouvelles chaussures, comme la vieille qui me raconte ses soirées râtées en boîte * j'ai chopé un numéro, mais il est trop collant, il m'attend en bas de chez moi. * … Peut être que c'est simplement pour ça que je préfère * creuver seule plutôt que de parler * … Peut être. Maintenant que tu sais … Tu vois, t'es pas là. Mais c'est simplement pour conserver tous ces moment là, ces moments à moi, en privés, privilégiés, exclusifs, c'est bête, mais c'est ma façon à moi d'envelopper tout ça dans des draps de soie. De m'exclure lorsque ça ne tourne pas rond, pour ne garder que le bon.
6 juillet 2006

••• … •••

Bon. J'ai eu mon bac. La france à gagné, on est en final. … Et ma mere part en urgence demain apres midi a Rouen dans un hopital spécialisé, pour aller voir un neurologue spécialisé. … Et mon père a pleuré plusieurs fois aujourd'hui, alors que ça faisait quelques années que je ne l'avais plus vu pleuré. … Et mon frère a fondu en larme, de peur, de panique, de tout. … Et ma soeur m'a pris dans ses bras,et elle m'a parlé dans le creux de l'oreille. … Et ma tante est venue et à joint tous les médecin qu'elle pouvait. … Et ma grand mère pleurait au téléphone et s'étonnait que je ne fasse pas de même. … Et ma marraine a appelé pour me féliciter de ma réussite au bac, et a demandé des nouvelles de sa soeur. … Et le médecin arrive en urgence. … Et ma mère a pleuré parce qu'elle a peur. … Et j'ai tellement peur moi aussi … Que je n'arrive pas à pleuré, à sourire, à paraitre affolée, à paraitre calme. Aujourd'hui, j'ai vu toute la famille se réunir, se soutenir, pleurer, mais surtout s'unir pour soutenir ma maman, et nous aussi. Mais moi, ça m'aide pas. On ne laisse plus ma mère seule. De peur qu'elle refasse un malaise dont elle seule à le secret. De peur simplement qu'elle se sente mal, ou qu'elle se mette à pleurer parce qu'elle a peur. Parce qu'après tout, on ne sait toujours pas ce qu'elle a … Depuis cet hiver. Et que ça empire de jours en jours. Moi, je l'aime ma mère. Et je ne veux pas la quitter, je ne veux plus aller à Troyes. Je veux rester avec elle.
5 juillet 2006

••• Pour les beaux yeux de mon chat. •••

Dans quelques heures, je serais fixée sur le sort de l'équipe de France. dans quelques heures, je serais fixée sur le sort de mon avenir. J'ai passé le rattrapage ce matin, il me manquait 17 points. A dix-neuf heures, j'aurais les résultats, et alors je saurais si je vais a Troyes, ou si je reste chez moi, enfin … Chez mes parents. J'hésite à me dire : " Si je rate le bac, alors je pourrais ne pas aller a Troyes, mais je quitterais pas un copain, et je ne m'éloignerais pas trop de Paris, de la Tour Effeil, et des deux personnes qui me sont les plus cheres. " D'un autre côté : " Si j'ai mon bac, je pars voir si la vie est meilleur là-bas. Je pars, je deviens autonome, je rencontre des gens qui vont peut être encore influencer mes décisions, et je fais ma vie, je m'ouvre. " Dans ma tête, il y a des phrases qui tournent, se retournent, passent, repassent, sont effacées, sont oubliées, puis qui reviennent en force. Du genre : " Pourvus que je ne l'ai pas, je ne veux pas partir, je veux pas quitter les gens à qui je tiens, je viens a peine de rencontrer certaines personnes, je ne peux pas partir maintenant. " Ou encore : " Et si je redoublais, on se retrouverait dans la même classe, on pourrait enfin commencer quelque chose … Oui, mais mes parents ?! Ils seraient tellement fiers si je l'avais. " " Est ce que ça m'arrangerait de ne pas avoir mon bac ? " A quelques heures du résultats, je commence à penser que je ne veux plus avoir ce bac, que c'est trop bête de vouloir partir, que je suis tellement bien chez moi, dans ma ville, avec mes amis près de moi, que putain, qu'est ce qui m'a prit de vouloir absolument rentrer dans une école de commerce international, d'avoir réussit les tests pour finalement me voir partir pendant deux ans et demi a l'étranger, sans personne. Bon sang, ça me plait moi, d'aller sur Paris aller voir mes potes, le WE, sans avoir à payer le train en piquant la carte orange de mes parents. Ca me plait d'être chez moi et de devoir obéir à des parents aux idées arrêtées. Ca me plait, de glander dans un lycée qui me fait chier. Ca me plait de ne pas sortir le soir. Ca me plait de ne pas pouvoir emmener mes copains dormir à la maison [ et ça m'arrange aussi … ]. Moi la vie chez mes parents, elle me plait. J'ai plus envie d'avoir mon bac. Je veux jouer a Tanguy moi … Et puis même mon chat j'ai pas envie de le quitter. Je crois que je serais contente de voir mes parents contents de moi parce que j'ai eu ce putain de bac, mais je crois aussi que au fond de moi, je serais vachement triste. Je veux plus l'avoir ce merdeux de bac. C'est trop con. Enfin bon, ça doit être normal comme réaction …
Publicité
1 2 3 4 > >>
FreeZone
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité